Kontadennoù

Un pauvre ne cesse de demander des faveurs à saint Pierre, jusqu'à celle de trop... Écoutons ce conte, nommé Ar paour-keaz Mizer, le pauvre appelé Misère, qui n'est pas sans rappeler l'histoire de la Genèse.

Deux comptes ce soir, avec Dominique Thépaut : d'abord l'histoire de trois frères, qui accomplissent des tâches incroyables. Et ensuite, celle d'un abbé, qui doit répondre aux questions saugrenues d'un roi.

Nous écoutons aujourd'hui un conte en breton, fortement inspiré des Lettres de mon moulin, d'Alphonse Daudet. Laissons Dominique Thépaut nous le présenter.

C'est l'histoire d'un père, déjà très âgé, qui donne trois conseils à son fils. Si ceux-ci peuvent sembler curieux, la suite du récit donnera bien raison à l'ailleul.

Yeunig n'a demandé en héritage de son père que sa chatte. Mais l'animal est du genre doté de pouvoirs magiques, comme il se doit dans les contes. Et c'est grâce à ceux-ci que Yeunig pourra obtenir la main de la fille du roi.

Un animal de compagnie un peu particulier que celui de Yeunig : sa chatte se charge de le faire connaître auprès du roi et lui obtient une invitation à déjeuner au palais. Un conte plutôt classique que nous propose de commencer Dominique Thépaut.

Nous achevons ce soir le récit du conte Ar Blogorn, soit le petit, le trapus, en breton. Le Blogorn a deux frères, qui ont tous deux échoué à couper l'arbre qui bloque l'entrée du palais. Cependant, lui a réussi. En théorie, le roi devrait lui donner la main de sa fille. Mais ce n'est pas si simple.

Souvent dans les contes, trois frères doivent affronter une épreuve. Les deux premiers échouent, et le troisième réussit. Notre histoire du jour ne fait pas exception : c'est le cadet, ar blogorn - soit le petit, le trapu - qui réussit à abattre l'arbre bloquant l'entrée du château. Écoutons la suite.

Ar Blogorn en breton, cela signifie petit, trapu, comme nous l'expliquait Dominique Thépaut dans l'épisode précédent. Ce dernier commence par nous rappeler le début de l'histoire.

Nouveau conte en breton ce soir : ar blogorn. Un mot dont Dominique Thépaut commence par nous expliquer le sens.